La ministre de la Culture et des Arts, Malika Bendouda, a inauguré le 1 octobre 2025 à l’esplanade Riadh El Feth, la 17ᵉ édition du Festival international de la bande dessinée (FIBDA). Elle a souligné la place de l’enfant dans l’action culturelle, appelé à repenser la gestion des festivals et invité les artistes à faire de leur art un acte de résistance en soutien à la cause palestinienne.
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La ministre de la Culture et des Arts, Malika Bendouda, a procédé, mercredi 1er octobre 2025, sur l’esplanade de Riadh El Feth à Alger, à l’ouverture de la 17e édition du Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA), placée cette année sous le slogan « L’édition des enfants ». Dans son allocution, elle a souligné que le festival est devenu « un rendez-vous incontournable pour le public algérien et ses visiteurs », et qu’il constitue désormais « une vitrine importante de la diversité culturelle en Algérie, y compris du neuvième art », auquel « la mémoire des Algériens reste attachée depuis ses premiers élans créatifs ». Elle a insisté sur le fait que soutenir les créateurs dans ce domaine est « une responsabilité qui nous incombe à tous. C’est ce à quoi s’emploient les organisateurs de ce festival international ».
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Le Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA) a récompensé, le 1er octobre 2025, ses premiers lauréats dans plusieurs catégories, mettant en avant la créativité des jeunes bédéistes algériens et l’expertise des auteurs professionnels. Les prix couvrent les jeunes de moins de 16 ans, les projets pour plus de 16 ans et le concours international de l’auteur professionnel.
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L’auteur de bande dessinée Benyoucef Abbas Kebir a animé, jeudi 2 octobre 2025 au FIBDA, une conférence intitulée « L’anglais dans la bande dessinée algérienne », au cours de laquelle il est revenu sur son expérience pionnière dans ce domaine à travers, notamment, la publication en 1994 de son album « Moussa and Farid in London ». Fruit d’une collaboration avec le professeur d’anglais Ahmed Bouchakour, qui avait signé les textes en anglais suivant ses indications, cet album raconte les aventures de deux Algériens dans la capitale du Royaume-Uni. « Ahmed et moi avions fait un voyage en 1984 au Royaume-Uni » a-t-il rappelé, précisant que cette expérience a directement inspiré l’album publié dix ans plus tard à compte d’auteurs. « L’OPU nous avait aidés à l’époque », a-t-il ajouté, en évoquant notamment l’accompagnement apporté pour la distribution de l’ouvrage.
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« Invasion de la BD par l’IA » est le thème d’une table ronde organisée, jeudi 2 octobre 2025, dans le cadre du Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA), réunissant les auteurs de bande dessinée Paulina Marquez, Monthe Youmbi et Patrick Marleau. La rencontre a permis d’explorer les impacts de l’intelligence artificielle sur la création artistique
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« La BD pour enfants » était le thème d’une conférence organisée le 3 octobre 2025 dans le cadre du Festival International de la Bande Dessinée d'Alger (FIBDA), qui se tient jusqu’au 5 octobre à l’esplanade Riadh El Feth. Les créatrices du magazine Ghomaïda ont présenté leur projet visant à éveiller la lecture chez les jeunes grâce à la bande dessinée, aux jeux et à des histoires adaptées à leur âge et à leur quotidien.
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Entre manga, mythologie et cricket, la mangaka japonaise Kiyomi Koizumi a conquis, le 3 octobre 2025, le public du Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA) lors d’une conférence intitulée « Renaissance du FIBDA au Japon et l’intérêt porté à l’industrie de l’animation au Moyen-Orient ». Elle a évoqué son parcours singulier et le lien profond qu’elle entretient désormais avec la bande dessinée algérienne, qu’elle s’attache à faire connaître au Japon.
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Le rôle du scénariste de bande dessinée a été au centre d’une rencontre organisée, le 3 octobre 2025, dans le cadre du Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA). Les intervenants, parmi lesquels Ahmed Haroun, Mahfoud Aider, Slimane Zeghidour et Boukhalfa Amazit, ont souligné les failles d’un écosystème culturel où le scénariste de BD peine encore à trouver sa place et à être reconnu comme un véritable créateur.
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Le rôle du scénariste de bande dessinée a été au centre d’une rencontre organisée, le 3 octobre 2025, dans le cadre du Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA). Les intervenants, parmi lesquels Ahmed Haroun, Mahfoud Aider, Slimane Zeghidour et Boukhalfa Amazit, ont souligné les failles d’un écosystème culturel où le scénariste de BD peine encore à trouver sa place et à être reconnu comme un véritable créateur.
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Dans le cadre du 17e Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA), la BD mexicaine était mise à l’honneur. Paulina Rubio, artiste et intervenante, a partagé, le 3 octobre 2025, son expérience, abordant la création, la traduction et la diffusion de ses œuvres, tout en soulignant la richesse colorée et festive de ce neuvième art et son potentiel à l’international.
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Présente depuis la première édition du Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA), Casa Éditions participe une nouvelle fois à cette 17ᵉ édition, avec une offre d’une centaine de titres destinés aux enfants et aux adolescents.
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Lors d’une conférence donnée dans le cadre de la 17ᵉ édition du Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA), la chercheuse américaine Alexandra Gueydan-Turek, spécialiste de la littérature moderne et de la bande dessinée dans le monde arabe, s’est arrêtée, samedi 4 octobre 2025, sur le phénomène du « manga algérien », qu’elle considère comme un art doté de traits locaux marqués, malgré son recours aux techniques narratives et graphiques japonaises. Selon elle, ce genre de création n’est pas une imitation de la culture de l’autre, mais une expression authentique de l’identité algérienne à travers un langage visuel universel, concept qu'elle appelle la "Golcalisation" (une contraction de global et local).
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Le groupe de thrash metal algérien Jugulator, fondé en 2014, s’est produit, samedi 4 octobre 2025, au Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA) devant un public nombreux et enthousiaste. Sur scène, les guitaristes Ramzi Abbas et Lamine Amrane, le batteur Hafid Abdelaziz et le bassiste Zakk Metalikaz ont livré un concert énergique,
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Le mangaka japonais Nao Kurebayashi a animé, samedi 4 octobre 2025, une conférence dans le cadre du Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA). Intitulée « Du lever au coucher du soleil », cette rencontre a permis à l’auteur de revenir sur trois décennies de carrière, sur ses plus grands succès et sur l’importance, selon lui, de s’inspirer de sa propre histoire pour créer des œuvres où l’humain est au cœur.
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La maison d’édition Éditions Daliman, figure importante du paysage éditorial national, a une nouvelle fois marqué sa présence à la 17ᵉ édition du Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA), un rendez-vous auquel elle participe chaque année avec constance.
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Pour la première fois, Flites Éditions participe au 17e Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA), présentant son catalogue riche et diversifié. Fondée en 2007, la maison d’édition s’est spécialisée dans les romans simplifiés pour débutants ainsi que dans les contes pour enfants, comptant aujourd’hui près de 200 titres.
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Parmi les jeunes maisons d’édition qui bousculent les codes du livre jeunesse, Bassamate (empreintes), s’impose comme une belle promesse. Fondée il y a à peine deux ans, cette maison d’édition algérienne, spécialisée dans la littérature pour enfants, trace déjà sa voie entre papier et numérique, entre imagination et innovation.
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Lors de la 17ᵉ édition du Festival international de la bande dessinée d’Alger (Fibda), l’auteur camerounais Monthe Youmbi a animé, le 4 octobre 2025, une conférence intitulée « La BD camerounaise », retraçant l’évolution d’un 9ᵉ art encore méconnu dans son pays.
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La cérémonie de clôture du 17e du Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA), placé cette année sous le slogan « L’édition des enfants », a pris fin, le dimanche 5 octobre, sur l’esplanade de Riadh El Feth.
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Parmi les stands les plus visités du 17ᵉ Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA), celui du Japon a su capter toute l’attention. Entre concours, ateliers de dessin et échanges culturels, le pavillon nippon a offert un espace d’inspiration et de partage pour les passionnés du neuvième art.
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La 17ᵉ édition du Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA) s’est achevée, le 5 octobre 2025, par une cérémonie de remise de prix aux lauréats des différents ateliers artistiques, célébrant le talent des jeunes, enfants et étudiants de l’École supérieure des beaux-arts d’Alger (ESBA).
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Le concours spécial manga, organisé pour la 17ᵉ édition du Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA) en partenariat avec l’ambassade du Japon, a récompensé, le 5 octobre 2025, quatre jeunes amateurs algériens passionnés par cet art.
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Au cœur du 17ᵉ Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA), une exposition émouvante attire les regards et les émotions : « Bande dessinée palestinienne : voix individuelles, cri collectif ». Installée sur l’esplanade de Riadh El Feth, elle rassemble les œuvres de dix bédéistes palestiniens qui, chacun à sa manière, transforment le neuvième art en acte de résistance.
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Le concours de cosplay du Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA) a clôturé, le 5 octobre 2025, cette 17ᵉ édition par la distinction des meilleurs talents dans cet art de la mise en scène et du costume.
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Effectivement, c’est une édition exceptionnelle, sans exagération. Vous l’avez sans doute remarqué si vous avez visité le Festival, nous avons battu un record en matière de participation. Le public a afflué massivement, surtout durant le week-end. Les premiers jours étaient un peu timides, car coïncidant avec la reprise des cours, c’est un rythme auquel nous sommes habitués, mais dès vendredi, c’était un véritable rush ! À un certain moment, nous avons même dû fermer temporairement les portes du festival pour réguler l’accès, le temps que l’espace se libère un peu.
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